Enfin!...... celui que j’attendais!…
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Enfin!...... celui que j’attendais!…
Combien sommes nous à en avoir que foutre du foot et des fouteux et de ce monde pourri qui se goinfre avec cette industrie du sport représentant une des pires corruptions et de compromissions?
Combien sommes nous à en avoir ras la casquette de reportages footesques sans intérêt qui nous sont imposés à la radio par nécessité économique mais davantage déconoconcon non comique!….
À lire absolument si vous êtes de ceux là!….
Rien à FOOT
De Jean Louis Chifflet
Combien sommes nous à en avoir ras la casquette de reportages footesques sans intérêt qui nous sont imposés à la radio par nécessité économique mais davantage déconoconcon non comique!….
À lire absolument si vous êtes de ceux là!….
Rien à FOOT
De Jean Louis Chifflet
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La difficulté attire l’homme de caractère, car c’est en l’étreignant qu’il se réalise lui même
Phisto
Re: Enfin!...... celui que j’attendais!…
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A quoi servirait l'intelligence si l'imbécillité n'existait pas !
descartes
Re: Enfin!...... celui que j’attendais!…



Le foot..............autrement s'pas Bert ' ??

morticia- Modératrice
Re: Enfin!...... celui que j’attendais!…
Toutafé Thierry !
Ah... Bon Dieu...ça fait du bien !
Mais combien de fa(n)das de la baballe allez vous vous mettre sur le dos ...!
Des zazimutés de l'OM aux "sportifauteuil" du PSG en passant par les "souteneurs" de l'OL ..ça fait du monde qui va vous haïr
Tiens, je vais vous rejoindre dans la détestation de la "Baballe" sous toutes ses formes ...c'est pas tous les jours qu'on trouve une cause à défendre qui en vaille la peine...
Je sens que je vais me faire des amis....
Je hais le sport
Je hais le sport, d’équipe surtout ; Tout ce qu’il draine de bêtise satisfaite, de fric facile, de brutalité non pas permise mais fortement recommandée, d’inculture aussi.
Je hais sa dictature sur la jeunesse, sa prétention à culpabiliser toutes celles et tous ceux qui trouvent plus d’attraits aux jeux de l’esprit qu’à ceux du ballon. Toutes celles et tous ceux qui comme moi trouvent curieux pour ne pas dire anormal, qu’un adulte normalement constitué puisse trouver quelque intérêt à se disputer une baudruche de cuir (ronde ou ovale) sur une surface gazonnée, avec une hargne allant jusqu’à faire saigner l’imbécile d’en face.
Curieux, Pour ne pas dire anormal, ce comportement trouble qui fait se jeter dans les bras l’un de l’autre les hommes d’une même équipe à chaque but marqué, à chaque coup réussi, s’étreindre avec une frénésie telle qu’on pourrait parfois se poser des questions sur une virilité pourtant sans cesse arborée, sans cesse revendiquée comme hors du commun.
Anormal que des gens pourris par l’argent facile, englués dans des caprices d’adolescents attardés, soient donnés en exemple à tous.
Je hais leur vocabulaire guerrier, restreint au mieux à des phrases hurlées avec hargne, au pire à des onomatopées destinées à déstabiliser l’adversaire ou à encourager l’équipier à étriper ce dernier.
Je hais leur prétention à donner la recette d’un esprit sain dans un corps sain, pourris qu’ils sont pour un bon nombre d’entre eux par les saloperies qu’ils avalent par tous les trous et destinées à les faire se dépasser comme ils disent. Quant à l’esprit sain et la force de caractère qui devrait aller avec.....les exemples nous sont donnés tous les jours à la télé ou à la radio par leurs élites les plus adulées ; pas un qui n’ai donné dans la mégalomanie plus souvent qu’à son tour. Pas un qui n’ait disjoncté à la moindre contrariété, au moindre caprice insatisfait. Pas un qui n’ait pleuré -mais virilement cela va de soi- à la moindre défaite. A quelques exceptions près le début de développement de leurs muscles correspond à l’arrêt du développement de leur cerveau, pour ne pas dire à son atrophie.
Cela concerne essentiellement, bien entendu, les importants, les télévisés, les payés cher. Mais les autres , ceux du dimanche, les occasionnels, ne sont pas à l’abri pour autant.
L’attrait du vedettariat même local, le décervelage permanent d’une télé en mal d’audimat, les naïfs et leur bonne conscience, vantant les mérites d’un Fair -play qui n’a jamais existé, drainent les désœuvrés en mal de distraction comme le miel attire les mouches. Les sergents recruteurs de cette sorte d’armée constituée de candidats au parasitisme et à l’adoration des foules, se font de plus en plus nombreux et accrocheurs, alimentant une machine infernale qu’ils croient contrôler, alors qu’elle les dévore.
Mais le sommet de la bêtise n’est pas atteint lâ. On le trouve plus certainement dans les rangs des spectateurs. Le Supporter quand il est mâle entre trente et soixante ans, représente la connerie à l’état pur. Un véritable condensé, le suc, la quintessence, un diamant de la plus belle eau.
Qui n’a vu dans les étranges lucarnes ce spécimen du héros par procuration, les veilles de grandes rencontres ou ,mieux les heures précédant le match, rempli de bière ou de pastis, la larme à l’œil ou l’invective aux lèvres, vantard, près à en découdre à la moindre occasion avec le premier contradicteur venu arborant son soutien aux idoles d’en face, pour la plus grande gloire d’une équipe de foot ou de rugby.
Plus proche du bison stupide et fonceur que de l’homo sapiens, il met toute son énergie dans un esprit de clocher qui lui fait reléguer au second ordre tout le reste. Il oublie tout et, régressant, se refond dans la horde. Il est de la race des patriotes, de ceux que les bouchers en gros, à képis étoilés mènent à l’abattoir le plus facilement dans les conflagrations générales.
Peu porté à la réflexion, sa férocité à l’égard des tièdes n’a d’égale que sa souplesse d’échine à l’égard de la première autorité qui sait lui en imposer. C’est un subordonné programmé génétiquement depuis sa gestation, qui suit ses maîtres au stade comme aux tranchées, avec une bonne conscience en béton. Il m’est toujours douloureux de voir ses simagrées et d’entendre ses propos, mais quand il a passé la cinquantaine c’est carrément l’enfer.
LN 1988
Ah... Bon Dieu...ça fait du bien !

Mais combien de fa(n)das de la baballe allez vous vous mettre sur le dos ...!

Des zazimutés de l'OM aux "sportifauteuil" du PSG en passant par les "souteneurs" de l'OL ..ça fait du monde qui va vous haïr
Tiens, je vais vous rejoindre dans la détestation de la "Baballe" sous toutes ses formes ...c'est pas tous les jours qu'on trouve une cause à défendre qui en vaille la peine...


Je sens que je vais me faire des amis....

Je hais le sport
Je hais le sport, d’équipe surtout ; Tout ce qu’il draine de bêtise satisfaite, de fric facile, de brutalité non pas permise mais fortement recommandée, d’inculture aussi.
Je hais sa dictature sur la jeunesse, sa prétention à culpabiliser toutes celles et tous ceux qui trouvent plus d’attraits aux jeux de l’esprit qu’à ceux du ballon. Toutes celles et tous ceux qui comme moi trouvent curieux pour ne pas dire anormal, qu’un adulte normalement constitué puisse trouver quelque intérêt à se disputer une baudruche de cuir (ronde ou ovale) sur une surface gazonnée, avec une hargne allant jusqu’à faire saigner l’imbécile d’en face.
Curieux, Pour ne pas dire anormal, ce comportement trouble qui fait se jeter dans les bras l’un de l’autre les hommes d’une même équipe à chaque but marqué, à chaque coup réussi, s’étreindre avec une frénésie telle qu’on pourrait parfois se poser des questions sur une virilité pourtant sans cesse arborée, sans cesse revendiquée comme hors du commun.
Anormal que des gens pourris par l’argent facile, englués dans des caprices d’adolescents attardés, soient donnés en exemple à tous.
Je hais leur vocabulaire guerrier, restreint au mieux à des phrases hurlées avec hargne, au pire à des onomatopées destinées à déstabiliser l’adversaire ou à encourager l’équipier à étriper ce dernier.
Je hais leur prétention à donner la recette d’un esprit sain dans un corps sain, pourris qu’ils sont pour un bon nombre d’entre eux par les saloperies qu’ils avalent par tous les trous et destinées à les faire se dépasser comme ils disent. Quant à l’esprit sain et la force de caractère qui devrait aller avec.....les exemples nous sont donnés tous les jours à la télé ou à la radio par leurs élites les plus adulées ; pas un qui n’ai donné dans la mégalomanie plus souvent qu’à son tour. Pas un qui n’ait disjoncté à la moindre contrariété, au moindre caprice insatisfait. Pas un qui n’ait pleuré -mais virilement cela va de soi- à la moindre défaite. A quelques exceptions près le début de développement de leurs muscles correspond à l’arrêt du développement de leur cerveau, pour ne pas dire à son atrophie.
Cela concerne essentiellement, bien entendu, les importants, les télévisés, les payés cher. Mais les autres , ceux du dimanche, les occasionnels, ne sont pas à l’abri pour autant.
L’attrait du vedettariat même local, le décervelage permanent d’une télé en mal d’audimat, les naïfs et leur bonne conscience, vantant les mérites d’un Fair -play qui n’a jamais existé, drainent les désœuvrés en mal de distraction comme le miel attire les mouches. Les sergents recruteurs de cette sorte d’armée constituée de candidats au parasitisme et à l’adoration des foules, se font de plus en plus nombreux et accrocheurs, alimentant une machine infernale qu’ils croient contrôler, alors qu’elle les dévore.
Mais le sommet de la bêtise n’est pas atteint lâ. On le trouve plus certainement dans les rangs des spectateurs. Le Supporter quand il est mâle entre trente et soixante ans, représente la connerie à l’état pur. Un véritable condensé, le suc, la quintessence, un diamant de la plus belle eau.
Qui n’a vu dans les étranges lucarnes ce spécimen du héros par procuration, les veilles de grandes rencontres ou ,mieux les heures précédant le match, rempli de bière ou de pastis, la larme à l’œil ou l’invective aux lèvres, vantard, près à en découdre à la moindre occasion avec le premier contradicteur venu arborant son soutien aux idoles d’en face, pour la plus grande gloire d’une équipe de foot ou de rugby.
Plus proche du bison stupide et fonceur que de l’homo sapiens, il met toute son énergie dans un esprit de clocher qui lui fait reléguer au second ordre tout le reste. Il oublie tout et, régressant, se refond dans la horde. Il est de la race des patriotes, de ceux que les bouchers en gros, à képis étoilés mènent à l’abattoir le plus facilement dans les conflagrations générales.
Peu porté à la réflexion, sa férocité à l’égard des tièdes n’a d’égale que sa souplesse d’échine à l’égard de la première autorité qui sait lui en imposer. C’est un subordonné programmé génétiquement depuis sa gestation, qui suit ses maîtres au stade comme aux tranchées, avec une bonne conscience en béton. Il m’est toujours douloureux de voir ses simagrées et d’entendre ses propos, mais quand il a passé la cinquantaine c’est carrément l’enfer.
LN 1988
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Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traitres, n'est pas victime. Il est complice!
George Orwell
grabier
Re: Enfin!...... celui que j’attendais!…
grabier a écrit:
Je hais le sport
Je hais le sport, d’équipe surtout ;
là, t'as tout dit ! j'ai pratiqué pas mal de sports, et uniquement individuels.... la ski, le kayak, le tennis, le judo, la voile (pas la vapeur, mais uniquement par goût... ) le sport d'équipe, j'y ai apporté ma contribution.... en créant un club de tennis avec un ami entraineur et en amenant une équipe de jeunes (14-15 ans) vainqueurs du championnat régional... mais voila, sur les 5 récipiendaires, 4 se sont dirigés vers un club mieux coté, se voyant déjà à Roland Garros... et depuis, ils végètent ... faut dire que les parents y sont pour beaucoup dans la dérive du sport collectif chez les jeunes ...
_________________
A quoi servirait l'intelligence si l'imbécillité n'existait pas !
descartes
Re: Enfin!...... celui que j’attendais!…
J'ai bu du petit lait ........
Du petit lait bien sucré en plus...........Lire cet article m'a fait du bien et m'a fait sourire souvent et hocher la tête plus souvent encore
Je ne peux m'empêcher de me retourner sur ce type fabuleux qu'est Desproges et qui est "aussi de notre avis " !

Voici bientôt quatre longues semaines que les gens normaux, j'entends les gens issus de la norme, avec deux bras et deux jambes pour signifier qu'ils existent, subissent à longueur d'antenne les dégradantes contorsions manchotes des hordes encaleçonnées sudoripares qui se disputent sur le gazon l'honneur minuscule d'être champions de la balle au pied. Voilà bien la différence entre le singe et le footballeur. Le premier a trop de mains ou pas assez de pieds pour s'abaisser à jouer au football.
Le football. Quel sport est plus laid, plus balourd et moins gracieux que le football ? Quelle harmonie, quelle élégance l'esthète de base pourrait-il bien découvrir dans les trottinements patauds de vingt-deux handicapés velus qui poussent des balles comme on pousse un étron, en ahanant des râles vulgaires de boeufs éteints. Quel bâtard en rut de quel corniaud branlé oserait manifester sa libido en s'enlaçant frénétiquemeunt comme ils le font par paquets de huit, à grand coups de pattes grasses et mouillées, en lulant des guturalités simiesques à choquer un rocker d'usine ? Quelle brute glacée, quel monstre décérébré de quel ordre noir oserait rire sur des cadavres comme nous le vîmes en vérité, certain soir du Heysel où vos idoles, calamiteux goalistes extatiques, ont exulté de joie folle au milieu de quarante morts piétinés, tout ça parce que la baballe était dans les bois ?
Je vous hais, footballeurs. Vous ne m'avez fait vibrer qu'une fois : le jour où j'ai appris que vous aviez attrapé la chiasse mexicaine en suçant des frites aztèques. J'eusse aimé que les amibes vous coupassent les pattes jusqu'à la fin du tournoi. Mais Dieu n'a pas voulu. Ca ne m'a pas surpris de sa part. Il est des vôtres. Il est comme vous. Il est partout, tout le temps, quoi qu'on fasse et où qu'on se planque, on ne peut y échapper.
Quand j'étais petit garçon, je me suis cru longtemps anormal parce que je vous repoussais déjà. Je refusais systématiquement de jouer au foot, à l'école ou dans la rue. On me disait : «Ah, la fille !» ou bien : «Tiens, il est malade», tellement l'idée d'anormalité est solidement solidaire de la non-footabilité. Je vous emmerde. Je n'ai jamais été malade. Quant à la féminité que vous subodoriez, elle est toujours en moi. Et me pousse aux temps chauds à rechercher la compagnie des femmes. Y compris celles des vôtres que je ne rechigne pas à culbuter quand vous vibrez aux stades.
Pouf, pouf.
Oserais je dire " Sublime " ???
Dieu que d'Opium il faut au peuple pour avancer dans la vie ..........
Enfin.................
comme il n'y a plus de gladiateurs et moins encore de lions ....faut bien boucher l'trou s'pas !..........


Du petit lait bien sucré en plus...........Lire cet article m'a fait du bien et m'a fait sourire souvent et hocher la tête plus souvent encore




Je ne peux m'empêcher de me retourner sur ce type fabuleux qu'est Desproges et qui est "aussi de notre avis " !


Voici bientôt quatre longues semaines que les gens normaux, j'entends les gens issus de la norme, avec deux bras et deux jambes pour signifier qu'ils existent, subissent à longueur d'antenne les dégradantes contorsions manchotes des hordes encaleçonnées sudoripares qui se disputent sur le gazon l'honneur minuscule d'être champions de la balle au pied. Voilà bien la différence entre le singe et le footballeur. Le premier a trop de mains ou pas assez de pieds pour s'abaisser à jouer au football.
Le football. Quel sport est plus laid, plus balourd et moins gracieux que le football ? Quelle harmonie, quelle élégance l'esthète de base pourrait-il bien découvrir dans les trottinements patauds de vingt-deux handicapés velus qui poussent des balles comme on pousse un étron, en ahanant des râles vulgaires de boeufs éteints. Quel bâtard en rut de quel corniaud branlé oserait manifester sa libido en s'enlaçant frénétiquemeunt comme ils le font par paquets de huit, à grand coups de pattes grasses et mouillées, en lulant des guturalités simiesques à choquer un rocker d'usine ? Quelle brute glacée, quel monstre décérébré de quel ordre noir oserait rire sur des cadavres comme nous le vîmes en vérité, certain soir du Heysel où vos idoles, calamiteux goalistes extatiques, ont exulté de joie folle au milieu de quarante morts piétinés, tout ça parce que la baballe était dans les bois ?
Je vous hais, footballeurs. Vous ne m'avez fait vibrer qu'une fois : le jour où j'ai appris que vous aviez attrapé la chiasse mexicaine en suçant des frites aztèques. J'eusse aimé que les amibes vous coupassent les pattes jusqu'à la fin du tournoi. Mais Dieu n'a pas voulu. Ca ne m'a pas surpris de sa part. Il est des vôtres. Il est comme vous. Il est partout, tout le temps, quoi qu'on fasse et où qu'on se planque, on ne peut y échapper.
Quand j'étais petit garçon, je me suis cru longtemps anormal parce que je vous repoussais déjà. Je refusais systématiquement de jouer au foot, à l'école ou dans la rue. On me disait : «Ah, la fille !» ou bien : «Tiens, il est malade», tellement l'idée d'anormalité est solidement solidaire de la non-footabilité. Je vous emmerde. Je n'ai jamais été malade. Quant à la féminité que vous subodoriez, elle est toujours en moi. Et me pousse aux temps chauds à rechercher la compagnie des femmes. Y compris celles des vôtres que je ne rechigne pas à culbuter quand vous vibrez aux stades.
Pouf, pouf.



Oserais je dire " Sublime " ???
Dieu que d'Opium il faut au peuple pour avancer dans la vie ..........
Enfin.................


morticia- Modératrice
Re: Enfin!...... celui que j’attendais!…
descartes a écrit:grabier a écrit:
Je hais le sport
Je hais le sport, d’équipe surtout ;
là, t'as tout dit ! j'ai pratiqué pas mal de sports, et uniquement individuels.... la ski, le kayak, le tennis, le judo, la voile (pas la vapeur, mais uniquement par goût... ) le sport d'équipe, j'y ai apporté ma contribution.... en créant un club de tennis avec un ami entraineur et en amenant une équipe de jeunes (14-15 ans) vainqueurs du championnat régional... mais voila, sur les 5 récipiendaires, 4 se sont dirigés vers un club mieux coté, se voyant déjà à Roland Garros... et depuis, ils végètent ... faut dire que les parents y sont pour beaucoup dans la dérive du sport collectif chez les jeunes ...
J'y vais sans doute un peu fort mais, au fond, c'était tout à fait ce que je pensais quand j'ai pondu ça...et je n'ai pas changé depuis.
Ce qui m'avait foutu en rogne à cette époque là c'est un truc que je vais essayer de raconter.
Je bossais avec un collègue qui avait 20 ans de moins que moi et qui lui, avait fait du sport..VTT, Moto Cross et Football. Ver 25 ans il était devenu entraineur de son club.. et, comme au boulot, c'était un gars sérieux (et il l'est toujours) dans tout ce qu'il faisait.
Un jour il est arrivé en me disant: " J'ai tout laissé tomber au club de foot, je suis écoeuré ..je viens de m’apercevoir que les gars (des gamins, hein, pas des adultes..c'est moi qui souligne)... je viens de m’apercevoir que les gars se shootent "
Le pire, c'est que le patelin est une commune de rien du tout... y a pas d'enjeu d'aucune sorte ... sinon battre le patelin d'à coté et, me dit-il, le pire est que certains parents laissent faire quand ils n'approuvent pas.
Mais comme disait Meyer "Nous vivons une époque moderne"

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grabier

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